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samedi 12 mai 2018

d'Hiroshima à Osaka


 
     Après quelques jours, nous entrons dans cet environnement policé, ordonné, poli, dynamique. Rien n’est laissé au hasard, ce qui rend la vie dans cette « multitude », plus facile pour nous.
     La barrière de la langue est compensée par cette disposition des japonais, à toujours être là à votre secours. Et ce qui nous étonne vraiment c’est le personnel, souvent âgé, qui se trouve partout : dans la rue à nettoyer (tout est extrêmement propre), dans les magasins (avec une folie de l’emballage et suremballage), pas de caisse automatique au pays des robots etc …


 Sauf quelques rencontres ...

     Le niveau d’anglais est plutôt faible. Un article disait que le Japon (comme la France) à trop longtemps considéré les langues étrangères, comme des matières mineures. Ils en payent aujourd’hui le retard.
     La langue japonaise est par contre considérée comme une langue difficile. Pour nous le jeu est simple, il consiste à mémoriser quelques formules et à les sortir à bon escient !

En deux mots …il existe quatre systèmes d’écritures : les kanji, les hiragana, les katakana et le romaji.
     Dès leur première année de primaire, les enfants japonais apprennent les 2000 mots de kanji. Les kanji sont généralement utilisés pour écrire la racine des mots.
Ensuite ils apprennent les hiragana et les katanaka. Ce sont des systèmes syllabaires qui permettent l’écriture. 
     Enfin Le romaji désigne les caractères de l’alphabet romains utilisés dans le cadre de l’écriture japonaise, pour transcrire des noms japonais pour les occidentaux, dans les usages techniques par exemple.




 Osaka la nuit, le quartier de Dotonbori, il faut bien se défouler après une journée chargée.
  
     A Osaka surtout nous avons été étourdis par la foule aux heures de pointe, l’on marche vite mais dans l’ordre. L’on marche à gauche, comme la conduite routière et les trains et l’on se range à gauche dans les nombreux escalateurs, sauf à Osaka où l’on se range à droite, allez savoir pourquoi ?




 Les distributeurs de tickets


 A gauche pour laisser la place aux pressés
     Quand l’on attend le train ou le métro, l’on se met en rang devant les n° de portes prévues. Surtout ne jamais couper une file où que ce soit, des milliers de gros yeux vous feraient comprendre l’erreur.

Aller, le reste en images.


 A Miyajima, près d'Hiroshima, Le torii le plus connu du Japon, 
émergeant à marée haute...
 Le beau château d'Himeji, par un beau soleil
 Et des toits superbes défiant les esprits
Koya-san, un sanctuaire bouddhiste du 7ème siècle, qui se découvre
 après avoir traversé un cimetière plus que millénaire 
 de près de 200 000 tombes
 Un architecture de bois qui a résisté au temps
Des lycéens en visite (et en uniformes), qui rangent avec discipline
 leurs chaussures pour entrer dans le sanctuaire 
 Quand il faut tirer la chevillette pour exhausser un vœux...
Beau jardin à Koya-san 
Jardin zen à Koya-san
Mais où sont les pas du jardinier ?
A Nara, le temple bouddhiste Todai-ji , plus grande construction de bois
 du Monde, reconstruit en 1692, abrite le plus grand Bouddha de 
 bronze au monde, réalisé en 751, hauteur 15m, poids 250 tonnes. 



Rituel de purification

 Toujours à Nara, le temple Horyu-ji, et sa pagode à cinq étages
 (la terre, l'eau, le feu, le vent et le ciel), plus vieille construction en bois
 du Monde, datant de 700.
Sans oublier la horde de daims qui envahissent le parc de Nara...

 De beaux kimonos dans le parc

 A bientôt de Kyoto !



3 commentaires:

  1. Magnifique voyage, que nous suivons avec grand intérêt. Nous constatons que nous avons beaucoup à apprendre de cette civilisation.
    Bises.
    Thérèse et Christian

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  2. Superbe votre voyage. Continuez, c'est intéressant. Gros bisous

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  3. Que de découvertes à chaque pas...un peuple à connaître ..j'ai hâte que vous nous fassiez partager ce voyage dépaysant. Je continue avec grand intérêt la lecture de votre carnet

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