Après quelques jours, nous entrons dans cet environnement
policé, ordonné, poli, dynamique. Rien n’est laissé au hasard, ce qui rend la
vie dans cette « multitude », plus facile pour nous.
La barrière de la langue est compensée par cette disposition
des japonais, à toujours être là à votre secours. Et ce qui nous étonne
vraiment c’est le personnel, souvent âgé, qui se trouve partout : dans la
rue à nettoyer (tout est extrêmement propre), dans les magasins (avec une folie
de l’emballage et suremballage), pas de caisse automatique au pays des robots etc
…
Sauf quelques rencontres ...
Le niveau d’anglais est plutôt faible. Un article disait que
le Japon (comme la France) à trop longtemps considéré les langues étrangères,
comme des matières mineures. Ils en payent aujourd’hui le retard.
La langue japonaise est par contre considérée comme une
langue difficile. Pour nous le jeu est simple, il consiste à mémoriser quelques formules et à
les sortir à bon escient !
les kanji,
les hiragana, les katakana et le romaji.
Dès
leur première année de primaire, les enfants japonais apprennent les 2000 mots
de kanji.
Ensuite
ils apprennent les hiragana et les
katanaka. Ce sont des systèmes syllabaires qui permettent l’écriture.
Enfin Le
romaji désigne les caractères de l’alphabet romains utilisés dans le cadre de
l’écriture japonaise, pour transcrire des noms japonais pour les occidentaux,
dans les usages techniques par exemple.
Osaka la nuit, le quartier de Dotonbori, il faut bien se défouler après une journée chargée.
A Osaka surtout nous avons été étourdis par la foule aux
heures de pointe, l’on marche vite mais dans l’ordre. L’on marche à gauche,
comme la conduite routière et les trains et l’on se range à gauche dans les
nombreux escalateurs, sauf à Osaka où l’on se range à droite, allez savoir
pourquoi ?
Les distributeurs de tickets
A gauche pour laisser la place aux pressés
Quand l’on attend le train ou le métro, l’on se met en rang
devant les n° de portes prévues. Surtout ne jamais couper une file où que ce
soit, des milliers de gros yeux vous feraient comprendre l’erreur.
Aller, le reste en images.
A Miyajima, près d'Hiroshima, Le torii le plus connu du Japon,
émergeant à marée haute...
émergeant à marée haute...
Le beau château d'Himeji, par un beau soleil
Et des toits superbes défiant les esprits
Koya-san, un sanctuaire bouddhiste du 7ème siècle, qui se découvre
après avoir traversé un cimetière plus que millénaire
de près de 200 000 tombes
Un architecture de bois qui a résisté au temps
Des lycéens en visite (et en uniformes), qui rangent avec discipline
leurs chaussures pour entrer dans le sanctuaire
Quand il faut tirer la chevillette pour exhausser un vœux...
Beau jardin à Koya-san
Jardin zen à Koya-san
Mais où sont les pas du jardinier ?
A Nara, le temple bouddhiste Todai-ji , plus grande construction de bois
du Monde, reconstruit en 1692, abrite le plus grand Bouddha de
bronze au monde, réalisé en 751, hauteur 15m, poids 250 tonnes.
Rituel de purification
Toujours à Nara, le temple Horyu-ji, et sa pagode à cinq étages
(la terre, l'eau, le feu, le vent et le ciel), plus vieille construction en bois
du Monde, datant de 700.
Sans oublier la horde de daims qui envahissent le parc de Nara...
De beaux kimonos dans le parc
Magnifique voyage, que nous suivons avec grand intérêt. Nous constatons que nous avons beaucoup à apprendre de cette civilisation.
RépondreSupprimerBises.
Thérèse et Christian
Superbe votre voyage. Continuez, c'est intéressant. Gros bisous
RépondreSupprimerQue de découvertes à chaque pas...un peuple à connaître ..j'ai hâte que vous nous fassiez partager ce voyage dépaysant. Je continue avec grand intérêt la lecture de votre carnet
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