Au sud de cette curieuse
configuration de la carte de la Croatie se trouve Dubrovnik. De décembre 1991 à
aout 1995, l’armée yougoslave, composée en majorité de Serbes, l’a bombardée
intensément, en espérant que cette « poule aux œufs d’or »
touristique lui revienne. Les impacts d’obus paraissent ça et là, comme sur le
beau dallage du Placa, la rue principale.
Le Placa, l'artère principale de la vieille ville
A une portée de canon,
flotte au-dessus de la ville un arrogant drapeau bosniaque, sur les positions
de l’artillerie dévastatrice.
Le flot des touristes, déversés
principalement des paquebots, a remplacé la population toute aussi cosmopolite
de l’ancienne république de Raguse (ancien nom de Dubrovnik), rivale de Venise.
Point de rendez-vous,
la fontaine d’Onofrio, alimentée par un aqueduc de 12 km
Le vieux port
Malgré un prix scandaleusement excessif de 200 kuna (29 €),
une promenade quasi incontournable, celle des deux kilomètres de remparts.
Une mer de tuiles
neuves, dont la moitié a été fournie par la ville de Toulouse lors de la
rénovation.
Le cloitre du couvent des dominicains
et ses orangers
Les rues transversales, suivant le même principe
qu'à Korcula (voir un article précédent), en escalier vers le nord
Des murs comme des livres ...
Des portes cochères prêtes à parler ...
Chaque midi, un employé municipal vient nourrir cette marée de pigeons.
qu'à Korcula (voir un article précédent), en escalier vers le nord
Des murs comme des livres ...
Des portes cochères prêtes à parler ...
Chaque midi, un employé municipal vient nourrir cette marée de pigeons.
Ce détail dans la
cathédrale Saint Blaise, m’a inspiré un dialogue oh combien blasphématoire,
entre le Christ et l’inconnu supportant sa Croix : « Déco… pas, tu
vas me faire tomber ! ».
Ces chinois restent les meilleurs acteurs des selfies.
Géniales ces photos (..en particulier celle du crucifix.. tenu par une main inconnue!!!)..
RépondreSupprimerMerci de nous faire "voyager"..